mardi 11 janvier 2011

Agenda

► Les 20 & 21/01/2011 à 20h30, présentations professionnelles à L’Espace Beaujon
208 rue du Faubourg Saint-Honoré 75008 Paris >> http://www.ebeaujon.org/
► Le 26 /01/2011 à 20h30, Création Au Nadir/Emmetrop
26 route de la chapelle 18000 Bourges (entrée libre)
► Le 16/03/2011 à 18h00, ouverture du Festival Cornegidouille
Le Compa, 1 rue de la République 28300 Mainvilliers >> http://www.cornegidouille.com/
► Le 31/03/2011 à 20h30, festival PiedNu
Atelier Musique du Havre, 55 rue du 329e RI 76620 le Havre >> http://www.piednu.fr/


lundi 16 août 2010

Bruit Blanc Pièce mixte pour percussions, dispositif électroacoustique & peinture 52’

« Est apparue avec évidence l’originalité du projet en ce qu’il donne un regard neuf sur la peinture dont ce n’est plus le seul résultat final (l’œuvre) qui est attendu et apprécié mais le déroulement même de son élaboration; mis en relation avec le parcours musical, le travail du peintre est vu, comme est entendue la musique, une création dans le temps dont chaque étape se donne en elle-même, objet de notre écoute et de notre contemplation »
Jean-Claude Pennetier
Un processus de création
« Toute l'existence passe par le flux de la création et de la destruction »
Joseph Beuys
L’esthétique de l’apparition est un principe qui a dominé la peinture pendant des siècles. Les artistes se devaient de mettre en avant une figure se détachant d’un fond, de laisser apparaître distinctement une image. La musique n’échappe pas à cette vision. Afin de remettre en cause le statut de concert pour la musique, nous préférons inscrire celle-ci dans une forme visuelle. La musique proprement dite est réduite au phénomène sonore. En effet, notre travail s'approche du mouvement "Fluxus" et, plus particulièrement, des actions-spectacles de ce mouvement, qui sont essentiellement orientées vers la construction et la destruction de l'œuvre. La peinture disparaît avec la musique, pour ne laisser qu'un souvenir du moment. L'art Fluxus réunit toutes les expressions, de la musique aux arts plastiques; il aspire aussi à rendre hybride le culte et le populaire. Le résultat est une conduite interactive dans laquelle le regard du spectateur est fondamental et où la valeur marchande de l'œuvre est presque inexistante.


Bruit Blanc / Note d’intention Georges Pennetier
La musique de Bruit Blanc est inspirée des photographies de la grande guerre : visions de campagne meurtrie, en noir et blanc, sentiments de néant et de vide, sensations de silence et de mort. Mais les vestiges d’une église, d’une usine ou d’une ruelle nous rappellent la vie, la vie d’avant, la vie absente, la vie à préserver. Il s’agit de mémoire, mémoires d’hommes, mais également d’une réflexion sur la vie, nos vies d’hommes. Quelles sont nos envies, nos valeurs, nos préoccupations dans un monde depuis toujours porté par le profit et son autodestruction ? Existe t-il un autre temps ou courons-nous inévitablement vers notre disparition ?

« Bruit Blanc » joue sur l’opposition entre le souffle de la vie et le silence de la mort. Les instruments sont sonorisés comme pour pénétrer au cœur du son: un bruissement de tôle, derniers râles d’un piano désossé, un tambour frotté...
Au départ, « Bruit Blanc » devait être une pièce pour percussions et dispositif électroacoustique dont l’ossature serait le contraste entre le mobilier sonore urbain et le néant. Le public, placé au centre du système de diffusion permettant la spatialisation du son, perdrait tout repère auditif frontal (scène). La musique, alors impalpable, dérange, bouscule, inquiète, interroge. Mélange de bandes, de sons déformés ou réels, la musique est tantôt feu, tantôt glace, reflet d’une société imaginaire...
La rencontre avec Serge Ondoua, alors dans son projet sur les « gueules cassées », impose « Bruit Blanc » comme corps à notre future collaboration. Ce n’est plus une pièce musicale d’une dizaine de minutes, mais une véritable œuvre visuelle et auditive de 52 minutes.


Hommage aux gueules cassées / Note d’intention Serge Ondoua
Ma démarche repose sur l’immédiateté, sans aucun dessin préparatoire, ni étude. C'est dans la multiplication des travaux que je trouve les clefs pour construire de nouvelles séries. Je recherche la confrontation des formes, des lignes, des pleins, des déliés, de la matière brute et du lavis, afin de saisir l’instant où le croisement de ces éléments figera une image. Le trait est noir, brut, tourmenté, sans être négatif. Les couleurs, violentes, pures et vives, sont posées sur la surface, à la manière des fauves. Le mélange ne se fait pas sur la palette mais directement sur le papier, instinctivement. Mon travail repose sur cette apparente improvisation, sur cette texture légère et pourtant brutale, sur cette immédiateté agressive. Il faut faire attention à ne pas recouvrir, que les formes donnent quelques indications figuratives, mais surtout laisser la peinture « ouverte ». Il faut que le spectateur puisse l’interpréter, se l'approprier, y projeter ses propres sentiments et souvenirs.


Bruit Blanc
Définition extraite du « Guide des objets sonores » de Michel Chion

1) On appelle « bruit blanc », « son blanc », ou « frange » voire « bruit » tout court, un son dont la masse contient en principe toutes les fréquences accumulées statistiquement. Ce son peut être produit avec des appareils électroniques (générateurs de bruit blanc, ou, même, le « souffle » des machines de studio).
2) On appelle bruit coloré le bruit blanc découpé par filtrage en « tranches » relativement épaisses.
a) Intérêt du bruit blanc dans l’expérimentation musicale.

« C’est tessiture) : chaque instant de son écoute est semblable à l’instant précédent pour des raisons d’ordre statistique. Ces circonstances se retrouvent dans une certaine mesure pour les applaudissements, les chutes d’eau ou de graviers, voire des agglomérats de sons quelconques, pourvu que leur variété soit suffisamment grande et que leur distribution dans la tessiture et dans le temps réponde aux lois du hasard. » (*)

L’appellation de son blanc, et celle, dévirée, de « son coloré », provient d’une analogie avec le phénomène visuel de la couleur blanche théoriquement produite par le mélange de toutes les couleurs.
(*) extrait du Traité des objets sonores de Pierre Schaeffer
bien un son homogène, et le contraire exact du son tonique (puisqu’il occupe toute la

BRUIT(s)

Résidence de travail
Rencontre entre les arts contemporains, entre deux disciplines artistiques, entre deux univers, Georges Pennetier et Serge Ondoua ont dû, dans un premier temps, s’inventer un langage commun, explorer les pistes possibles pour que peinture et musique dialoguent. En résidence à Chartres pendant tout le printemps, ils ont présenté des « Bruit(s) » : quatre rendez-vous d’une demi-heure, suivie d’un temps d’échanges, pour partager avec le public, amateur et néophyte, leurs expérimentations, les inviter à suivre leur processus de création.

BRUIT#1

Samedi 03/04 à 17h30 – Prieuré Saint-Vincent (Chartres) > Dans le cadre du vernissage de l’exposition « So » (Serge Ondoua)
« Bruit(s) », c’est un laboratoire de recherche. La règle du jeu : être libre d’aller dans n’importe quelle direction, ne pas penser à la finalité du projet, se trouver un vocabulaire. Bruit#1 se construit par rapport à la structure musicale : Georges donne la direction, Serge réagit... 1ère confrontation des deux disciplines : la notion du temps n’est pas la même ! Apprendre à gérer le temps, trouver ses points de repère, s’écouter, se voir, reprendre, refaire...
Instrumentarium : steel drums, cloches de vaches, voix, caisses claires, eau, pédale de loops
Outils plastiques : tubes de peintures rouge – jaune – noir, eau, paint ball

BRUIT#3

Samedi 15/05 à 22h – Cloître des Cordeliers (Chartres) > Dans le cadre de la Nuit des Musées
Bruit#3 est dans la pénombre, à la limite du visible... La guerre, on ne la montre pas, ça fait peur... Sur le support est projeté « La Chambre des officiers », film de François Dupeyron. Les gueules cassées sont là. Serge peint dessus avec des fumigènes. Finalement, c’est la projection vidéo qui éclaire la peinture.
On entend des sirènes, des tirs... On ne voit pas la guerre mais elle nous entoure... L’univers sonore est saturé, sombre... et soudain des voix d’enfants se font doucement entendre...
Instrumentarium : ordinateur, guitares (travail sur le larsen), tôles, sirène, graviers, pédale loops, voix d’enfants
Outils plastiques : fumigènes, paint ball, eau colorée, sable, graviers, peinture et bombes

BRUIT#4

Samedi 05/06 à 20h – Collège Jean Monnet (Luisant) > Dans le cadre des 20 ans du collège
Bruit#4 raconte la bataille... Tambours, tôles, sirène, larsen... Des personnages apparaissent, de plus en plus nombreux, semblables, et le rouge les inonde. Le lieu a inspiré un dispositif différent : le support est transparent et permet de voir Serge de face, en quelque sorte de rentrer dans son intimité.
Instrumentarium : toms, tôles, calebasse, ordinateur, guitare, sirène...
Outils plastiques : bombes noires et rouges avec des capteurs

La genèse des Percussions de l’Etable/////////////////




A l’occasion du concert Travaux Publics (label de Rubin Steiner) en avril 2004, et alors que la Ville de Chartres est en plein travaux, Georges Pennetier, percussionniste, propose un travail collectif de détournements d’objets et de situations, lié à la thématique des travaux; ces happening urbains remportent un vif succès.
Un collectif informel se forme, travaillant autour de la percussion, faisant intervenir au gré des projets musiciens, danseurs, comédiens, circassiens, peintres... Le collectif répète alors régulièrement à L’Etable, lieu de concerts à Saint-Piat (28), est devient les Percussions de L’Etable, sous la houlette de Georges Pennetier.
En 2007, La Voix du Lézard produit leur premier spectacle, L’Echafaudage, aboutissement d’un travail avec Carlos Blanco, comédien et claquettiste, et Aurélien Falkowska, musicien et circassien.

En 2008, les Percussions de L’Etable sont missionnées par le Conseil Général d’Eure-et-Loir et proposent dans le cadre des « Scènes Euréliennes », un concert mêlant créations inspirées du théâtre musical et pièces du répertoire contemporain (Reibel, Kagel).
En 2009, une nouvelle création « Basse Fondrière » voit le jour dans le cadre de la 2ème édition des Rencontres Musiques Electroacoustiques à Chartres, fruit de la rencontre de Georges Pennetier et Eric Cordier, plasticien, improvisateur et électroacousticien.

Georges Pennetier,
directeur artistique et percussionniste

Né dans un milieu éminemment musical, Georges Pennetier a une formation classique. Très jeune il fait partie de la maîtrise de la Cathédrale de Chartres et des chœurs d’enfants de l’Opéra de Paris. À dix ans, il joue et chante dans « Tistou les pouces verts » d’Henri Sauguet. Il commence l’étude de la percussion, sous la direction d’Alain Huteau, au C.N.R. de Cergy-Pontoise. Parallèlement il suit de nombreux cours de percussions digitales : congas, djembé, zarb.
En 1991, il découvre la danse contemporaine auprès du chorégraphe Stéphane Ripon. Commence alors un travail de composition et de recherche sur la relation « mouvement-rythme. ». En 1993, lors d’un stage international de danse à Montmorillon, il écrit sa première musique de ballet. En 2001, il compose sa sixième musique : « ...Ici... » pour un musicien et trois danseurs, puis un spectacle pour contrebasse, percussionniste et deux danseurs, œuvres qui l’impliqueront autant scéniquement que musicalement. Il participe régulièrement, en tant que compositeur-percussionniste, à des stages de danse et travaille avec différents chorégraphes ou professeurs dont Christiane Ripon, Nathalie Zucchi, La compagnie du Fou De Bassan, Katia Bellien, Laure Dauget...
Il participe également au Festival « Danse au Cœur » à Chartres en tant que musicien-improvisateur, notamment avec Wilfride Piolet et Jean Guizerix (danseurs étoiles de l’Opéra de Paris). Depuis 1998, il a également créé et joué des musiques originales pour des spectacles dramatiques, dont Richard III de William Shakespeare, spectacle mis en scène par Geneviève de Kermabon et donné à la Cité de la Musique à Paris ainsi qu’au Festival d’Avignon en juillet 1999.
En octobre 1999, il joue L’Histoire du Soldat d’Igor Stravinsky au Châtelet avec Jean Rochefort dans le rôle du récitant puis avec Didier Sandre à Verdun. En 2000, il joue dans un spectacle pour enfants, écrit et mis en scène par Jean Pierlot : « Louise et l’océan – Petit singe ». Deux contes pour une comédienne et deux percussionnistes, qui seront représentés plus de deux cents fois.
Depuis octobre 2002, il est professeur de percussions et accompagnateur de danse contemporaine et africaine à l’Ecole de Musique et de Danse de la ville de Trappes. Il intervient régulièrement dans les établissements scolaires, notamment avec Les Percussions de l’Etable (concert à l’école, ateliers).
En 2006, création de l’Ensemble Pennetier avec France et Jean-Claude Pennetier pour 2 pianos et 1 percussion. Il joue des pièces de Guy Reibel, Yoshida Taïra, crée une œuvre de Bruno Ducol écrite spécialement pour l’ensemble, et tourne en France et aux USA (Getty Center et Orange County à Los Angeles...).
Parallèlement, il joue avec Urban Sax en France et à l’étranger (Finlande, Russie, Chine).



REALISATION
« L’Echafaudage »
Concert théâtral pour 3 percussionnistes et 1 échafaudage Avec Carlos Blanco, Aurélien Falkowska et Georges Pennetier Production La Voix du Lézard
> Réalisation d’un support vidéo pour la diffusion du spectacle à partir des enregistrements effectués lors de la création en 2007 au Nadir (Bourges) et au Festival de Trop (Paris).
« Ces bruits qui dansent »
Spectacle jeune public musique, danse, théâtre Chorégraphie : Stéphane Ripon – Musique originale : Georges Pennetier Production Compagnie F2B avec le soutien du Théâtre du Grenier (Bougival)
Et si le bruit devenait danse ? Au travers de « Ces bruits qui dansent », nous vous invitons à percevoir le bruit sous une nouvelle forme. Sur une musique originale de Georges Pennetier, jouée en direct, un prof déjanté anime le cours, illustré par deux complices remplaçant les pages d’un livre... La leçon du jour : le bruit ! Ce spectacle, conçu pour les enfants, aborde de façon ludique l’écoute, le bruit de la goutte de pluie, celui du frisson, du vacarme urbain, le sens d’un mot, l’imaginaire...
> Création le 1er février 2009 au Théâtre du Grenier (Bougival)
« Basse fondrière »
Pièce mixte pour percussions et dispositif électroacoustique Avec Georges Pennetier et Eric Cordier Coproduction : Les Percussions de l’Etable & La Voix du Lézard Avec le soutien d’Emmetrop – friche culturelle L’Antre-Peaux (Bourges) et du Conseil Général d’Eure-et-Loir
C’est dans un rapport de réciprocité qu’Eric Cordier, musicien et plasticien (improvisateur, compositeur de musique électroacoustique) développera son univers grâce à l’apport du jeu instrumental. Cela permettra, d’autre part, à Georges Pennetier d’ouvrir de nouvelles dimensions aux percussions par l’utilisation d’outils de traitement du son en temps réel, programmés par Eric Cordier selon une technique qui lui est propre. Cette technique permet de suivre en permanence le jeu instrumental pour dialoguer avec lui. Des machines qui en quelque sorte deviennent intelligentes et qui ne sont plus limitées à des réponses mécaniques mais qui accompagnent le musicien comme un alter ego.
> Résidences : Nadir (Emmetrop – Bourges) du 31/10 au 04/11/08, L’Etable (La Voix du Lézard – Saint Piat), Salle Doussineau (Chartres) du 11 au 14/05/09 > Création : Le 15/05/09 Salle Doussineau (Chartres) dans le cadre de la 2ème édition des Rencontres Musiques Electroacoustiques
« Récital »
Du répertoire contemporain au théâtre musical, les multiples facettes de la percussion Avec Georges Pennetier Production : Les Percussions de l’Etable
Georges Pennetier y interprète entre autres ses dernières créations : Bruit Blanc (2009) Opus 52 (2008), Cri (2009), Pianissimo (2009) et Vibrarbiv (2009)
> Création le 15/07/09 au Théâtre de Verdure (Bougival) > Dans le cadre des Scènes Euréliennes : le 25/07/09 à La Loupe, le 09/10/09 à Prunay Le Gillon, le 14/11/09 à Aunay sous Auneau

Serge Ondoua alias "So" /////////////////////////////////////////

Ses premières expériences plastiques viennent du graff, du tag et du pochoir. Dans le même temps, des étroites collaborations avec plusieurs peintres, lui ont permis d’élargir ses influences, notamment vers l'expressionnisme abstrait, le pop art et l'art brut. Cette recherche s'est orientée vers une esthétique et une technique "primitive". C'est la raison pour laquelle Serge Ondoua peint essentiellement avec ses mains.
A partir de 2005, le rythme au sein de la toile s'est affirmé, grâce à des collaborations avec des musiciens. Au travers de ces performances, il découvre la notion de la contrainte du temps pour réaliser une toile. Cette façon de travailler a changé considérablement son approche. Le fait de travailler plus vite a engendré la volonté de faire des séries. Ce n'est plus la toile qui est importante, mais l'accumulation de toiles afin de réaliser une pièce.
Depuis 2009, Serge Ondoua est en résidence dans un atelier de la ville de Chartres et continue les collaborations avec des musiciens mais, également, avec un paysagiste (projet urban mixborder) et un vitrailliste.

2010
- exposition personnel au prieuré saint-vincent (présentation de différents travaux réalisés pendant l'année)
- Inside - exposition de photos macros autours d'instrument de musique - théâtre du lierre 75013
2009 (résidence atelier So – Chartres)
- Exposition "Témoignage, Hommage aux Gueules Cassées”, acryliques sur papier - mur de 24 affiches 8 x 2 m
- Exposition "Affichage libre", technique mixte sur bois.
- Performances peinture avec Georges Pennetier (percussionniste) et Stéphane Rousseau (batterie et korg)
- Exposition "Urban mixborder", installation en collaboration avec Sylvain Prévost (paysagiste)
2007/2008
- Exposition "Un bon artiste est un artiste mort... ou l'inverse” (Place Billard, Chartres)
- Expositions en ligne sur http//:wwwprojetparenthese.fr.tc “Ce n’est pas parce qu’on”, ”So”, “L’enfer”, “Ruines pavillonnaires” - photos de "So", textes de Stéphane Rousseau.
- Formation vitrailliste (Greta de Chartres)
2005/2006
- Performances peinture avec les “Percussions de L’étable” et les “Céréal Killer”
- Exposition “Les petites couleurs”, photos macros (L’Etable, Saint-Piat)
2005
“Chemin de croix cathodique”, installation de photos numériques (L’Etable, Saint-Piat)
2004
Exposition “Photographiste”, montages numériques (Fnac, Chartres)
2003
Exposition “Garden painting”, acryliques sur toile (Guyancourt)
2002
Exposition “Les animaux”, acryliques sur toile (Chartres)
1998/1999
Assistant d’Ali Moubarek, photographe
1997
Exposition “Mégalopole anthropomorphe”, peintures et installation en collaboration avec l’Écomusée de Saint-Quentin-en-Yvelines
1995/1997
Artiste de la Galerie Simon (Paris, 9ème)

Parallèlement, Serge Ondoua travaille comme graphiste depuis 1992, tout d'abord dans une télévision locale de Saint-Quentin-en-Yvelines (TVFIL78), puis en agence et actuellement en indépendant pour des structures culturelles (Théâtre de Chartres, Théâtre du Seuil, Cirma28, ...)